Association, Branche
« Dans le doute, fais-le ! » – la devise du conseiller fédéral Albert Rösti était tout un programme !
La 7e rencontre de la branche a de nouveau attiré de nombreux représentants de haut niveau issus des entreprises, de la politique, de l’administration et de la science.
Les discussions ont été passionnées, les échanges ont eu lieu et l’une ou l’autre solution concrète aux grands défis du marché du logement a été discutée.
Nous avons appris cinq choses :
- Ce n’est pas notre secteur qui est responsable du manque de logements.
- Nous avons besoin de VRAIES solutions, nous ne pouvons et ne voulons plus nous permettre des blocages.
- Une collaboration sans idéologie entre toutes les parties prenantes est essentielle (nous n’avons malheureusement pas pu répondre de manière définitive à la question de savoir pourquoi nous ne le faisons pas…).
- Une bonne communication est la base de la confiance et est donc extrêmement importante.
- Le fait de se réunir autour d’un repas et d’une boisson y contribue largement.
Après la discussion animée et très rafraîchissante de notre modératrice Sonja Hasler avec le conseiller fédéral Albert Rösti, nous avons pu profiter de deux brefs exposés très intéressants. Sibylle Wälti, chargée de cours à l’EPF de Zurich et CEO de Resilientsy, a lancé un appel concret à aller de l’avant – surtout à l’administration – avec ses concepts concrets pour un voisinage en 10 minutes. Et le professeur Christian Kraft, directeur du centre de compétences immobilières de l’Institut des services financiers de Zoug, a lui aussi lancé un appel clair : Il faut faire quelque chose, sinon nous n’aurons jamais les 65 000 logements manquants, mais de gros problèmes à la place. Lors de la table ronde qui a suivi, Eva Herzog, conseillère aux États PS et présidente des coopératives d’habitation, Jens Vollmar, directeur des constructions chez Implenia et Martin Strub, manager de l’UBS Property Fund SIMA ont discuté du thème « logements abordables ». Sous la direction professionnelle de Sonja Hasler, des points de départ pour des solutions communes sont apparus.
Lors de la réunion conviviale qui a suivi, tout le monde était d’accord pour dire que l’on ne peut réussir qu’ensemble et que de telles manifestations constituent une base importante pour y parvenir.